Le passé qui ne veut pas passer : le(s) discours nationaliste(s) en Europe

Le passé qui ne veut pas passer[i] : le(s) discours nationaliste(s) en Europe

Journée d’étude

le 23 avril 2020

Cette journée d’étude s’intéresse au retour du discours nationaliste en Europe au XXIe siècle. Le discours nationaliste d’aujourd’hui a hérité des outils, supports, idées et arguments qui ont été largement employés dans le discours nationaliste dans les années 1930-1940. Cependant, dans le contexte actuel de l’Europe unie, le discours nationaliste subit des changements liés au passage de l’identité nationale à l’identité transnationale, dite européenne. Cette journée vise à réunir des contributions autour des axes suivants : les réflexions sur le caractère dit « nationaliste » du discours, les liens entre le discours nationaliste moderne et le discours fasciste/nazi, les techniques discursives de représentation de l’Autre, la construction discursive de l’ennemi, la haine dans le discours nationaliste, l’identité nationale face à l’identité transnationale.

Envoi des propositions :
Les propositions de communication de 300 mots environ accompagnées d’une note biobibliographique du contributeur de 50-80 mots (avec adresse électronique) en français ou en anglais seront à adresser à Maria Shvetsova (maria.shvetsova@uha.fr) et Tatiana Musinova (tatiana.musinova@uha.fr) avant le 1er février. Les réponses seront envoyées pour le 15 février.

Frais d’inscription :
50 euros (30 euros pour les doctorants).
Pas de frais d’inscription pour les enseignants et doctorants de l’UHA.

Comité d’organisation :
Maria SHVETSOVA, doctorante ILLE, Université de Haute-Alsace, France
Adel AHADRI, doctorant ILLE, Université de Haute-Alsace, France
Hugo DOUCELIN, doctorant ILLE, Université de Haute-Alsace, France
Tatiana MUSINOVA, Maître de conférences, ILLE, Université de Haute-Alsace, France
Greta KOMUR-THILLOY, Professeure des universités, ILLE, Université de Haute-Alsace, France



[i] Le titre d’un article d’Ernst Nolte publié en 1986 dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung.